Lui défiant le soleil,
Elle aveuglée par sa propre lumière,
Encore, encore et encore,


Prisonniers de leur jeu,
Aliénés malgré eux,
Ils alternent leurs rôles...


Ils croient au hasard,
Sans destin, aléatoire,
Mais les dés sont truqués...


D'un théâtre tragique,
Ils s'affirment comiques,
Rejouant les mêmes scènes...


Chorégraphes parfait,
Leur mouvement sont complets,
Et la musique sans fin...


Prisonniers de leur jeu,
Jour et nuit malgré eux,
Ils dansent à jamais...

  
Elle défiant le soleil,
Lui aveuglé par sa propre lumière,
Encore, encore,
Encore.

 Lénil., Avril 2011

1 commentaire:

  1. Un poème bien écrit, qui "tourne". Je suppose que c'est voulu !

    ... mais je ne comprends pas bien de quoi il parle, et pour le coup, c'est frustrant.
    Je le relirai.

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